On dirait bien une inversion : quand il s’agit d’entrer, on sort ( Cf. épisode 12 et la suite de portes qui ne peuvent s’ouvrir que de l’intérieur), et maintenant qu’on cherche à sortir, on entre, on s’enferme!
Le passage est bien ce lieu étrange qui transforme l’entrée en sortie et la sortie en entrée, le point d’inflexion du cheminement, le haut de la colline. Mais en guise de colline, j’ai l’impression que cette inversion nous a piégé dans une cuvette, tout mouvement d’un côté nous ramenant vers son centre, au lieu de nous amener de l’autre côté comme derrière le sommet d’une colline. Qu’aurait fait Sisyphe coincé dans une cuvette?
En effet… et dans cette même série 12, on retrouve une inversion que je n’avais pas remarquée: si l’image 131 représente un relief, l’image 132 est un creux (suivre le lien). L’intérieur devenant l’extérieur… alors, sortir ? entrer ?
Quant à Sisyphe, il faudrait examiner cette question avec gravité.
On dirait bien une inversion : quand il s’agit d’entrer, on sort ( Cf. épisode 12 et la suite de portes qui ne peuvent s’ouvrir que de l’intérieur), et maintenant qu’on cherche à sortir, on entre, on s’enferme!
Le passage est bien ce lieu étrange qui transforme l’entrée en sortie et la sortie en entrée, le point d’inflexion du cheminement, le haut de la colline. Mais en guise de colline, j’ai l’impression que cette inversion nous a piégé dans une cuvette, tout mouvement d’un côté nous ramenant vers son centre, au lieu de nous amener de l’autre côté comme derrière le sommet d’une colline. Qu’aurait fait Sisyphe coincé dans une cuvette?
En effet… et dans cette même série 12, on retrouve une inversion que je n’avais pas remarquée: si l’image 131 représente un relief, l’image 132 est un creux (suivre le lien). L’intérieur devenant l’extérieur… alors, sortir ? entrer ?
Quant à Sisyphe, il faudrait examiner cette question avec gravité.