Tu nous montres très bien son intérêt…
Ou bien la photo a un intérêt, mais la colline non. Du moins dans ton optique… enfin je veux dire ton objectif… Enfin, celui de ta recherche, heu spirituelle, pas plastique. C’est ça ?
On peut y pousser éternellement son rocher, tel Sisyphe condamné à avoir un (vain) but…
« Dans la mythologie grecque, Sisyphe a dénoncé Zeus qui avait enlevé une jeune vierge. Pour le punir, Zeus l’a condamné à pousser éternellement un rocher au sommet d’une colline sans jamais y parvenir : à peine Sisyphe est-il arrivé près de son but que le rocher roule de l’autre côté vers le bas, et tout est à recommencer… »
Pas d’ « autre côté » pour la colline de la photo.
Et pourtant… il faut imaginer Sisyphe heureux.
« Cet univers désormais sans maître ne lui paraît ni stérile ni fertile. Chacun des grains de cette pierre, chaque éclat minéral de cette montagne pleine de nuit, à lui seul, forme un monde. La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d’homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux. »
Albert Camus Suivre ce lien
Je trouve que cette image des grains de pierre correspond tout à fait à beaucoup d’images de ce récit-photo, de même :
« A cet instant subtil où l’homme se retourne sur sa vie, Sisyphe, revenant vers son rocher, contemple cette suite d’actions sans lien qui devient son destin, créé par lui, uni sous le regard de sa mémoire et bientôt scellé par sa mort. »
Absurde, ce blog ?
Les sillons y sont bien marqués,
pas d’intérêt ?
Quelle colline recherches-tu ?
on va te suivre…..
Tu nous montres très bien son intérêt…
Ou bien la photo a un intérêt, mais la colline non. Du moins dans ton optique… enfin je veux dire ton objectif… Enfin, celui de ta recherche, heu spirituelle, pas plastique. C’est ça ?
Dans mon optique, le plastique est spirituel. Ce qui me touche l’oeil doit avoir un sens. Et ici, à ce moment précis, j’ai douté.
Quel intérêt peut avoir une colline?
On peut y pousser éternellement son rocher, tel Sisyphe condamné à avoir un (vain) but…
« Dans la mythologie grecque, Sisyphe a dénoncé Zeus qui avait enlevé une jeune vierge. Pour le punir, Zeus l’a condamné à pousser éternellement un rocher au sommet d’une colline sans jamais y parvenir : à peine Sisyphe est-il arrivé près de son but que le rocher roule de l’autre côté vers le bas, et tout est à recommencer… »
Pas d’ « autre côté » pour la colline de la photo.
Et pourtant… il faut imaginer Sisyphe heureux.
« Cet univers désormais sans maître ne lui paraît ni stérile ni fertile. Chacun des grains de cette pierre, chaque éclat minéral de cette montagne pleine de nuit, à lui seul, forme un monde. La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d’homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux. »
Albert Camus
Suivre ce lien
Je trouve que cette image des grains de pierre correspond tout à fait à beaucoup d’images de ce récit-photo, de même :
« A cet instant subtil où l’homme se retourne sur sa vie, Sisyphe, revenant vers son rocher, contemple cette suite d’actions sans lien qui devient son destin, créé par lui, uni sous le regard de sa mémoire et bientôt scellé par sa mort. »
Absurde, ce blog ?
Vous ne croyez pas si bien dire en parlant de Sisyphe…
une projection en avant … à perte de vue … une quête …