Cette série d’images me faisait penser au Yin et au Yang.
Indissociables contraires complémentaires.
Un désert de douceur pour un oreiller rebondi mais aux lignes strictes et sévères, des vagues de sécheresse rugueuse, reprises par les vagues (de bois) d’affaires en cours, horizontalité et verticalité. puis un tissu de fleurs infertiles
l’envers l’endroit d’une serrure
et enfin cette dernière photo « noir et blanc » également traversée par une fissure,
Rien n’est blanc , rien n’est noir, rien n’est tranché !
sorte de courbe graphique de nos humeurs en ce monde ?
Plutôt que du vide, j’y verrais de la légèreté. S’agirait-il des restes de notre très légère bébête de la photo 143, cachée dans son encoignure ? Ou bien de l’ossature gracile d’un chef d’orchestre, dans son costume noir et blanc, battant la mesure d’une musique… légère ?
Cette fissure… un passage entre ce monde et l’autre, la lumière et l’ombre…
Cette série d’images me faisait penser au Yin et au Yang.
Indissociables contraires complémentaires.
Un désert de douceur pour un oreiller rebondi mais aux lignes strictes et sévères, des vagues de sécheresse rugueuse, reprises par les vagues (de bois) d’affaires en cours, horizontalité et verticalité. puis un tissu de fleurs infertiles
l’envers l’endroit d’une serrure
et enfin cette dernière photo « noir et blanc » également traversée par une fissure,
Rien n’est blanc , rien n’est noir, rien n’est tranché !
sorte de courbe graphique de nos humeurs en ce monde ?
Manuella
Jolie symétrie…
Plutôt que du vide, j’y verrais de la légèreté. S’agirait-il des restes de notre très légère bébête de la photo 143, cachée dans son encoignure ? Ou bien de l’ossature gracile d’un chef d’orchestre, dans son costume noir et blanc, battant la mesure d’une musique… légère ?