Magnifique, ce nouvel épisode, tout en matières, abstractions, souffles de vie et d’ombres.
Serge se lâche.
Ici, je vois un enchâssement. L’ombre aurait mangé son sujet, un chat ?
La ligne directe, cette fissure qui traverse l’image, où ce lâcher-prise qui ouvre bien des voix ?
Entre flou et ombres, nous voici dans l’éther.
Pas très engageant. Après le visage sous voile et la mouche prisonnière, le minou « j’y suis – j’y suis pas » semblerait presque rassurant.
Ne serait-ce pas le chat de Schrödinger qui se serait laissé prendre dans la « boite »? A la fois vivant et mort dans un espace (quantique) tout à fait concevable dans notre univers…
Il fallait être là pour saisir l’instant où le chat cesse d’être tout en étant encore. Une vitesse d’obturation au 1/299 792 458 sec n’est pas suffisante, encore faut-il appuyer sur le bouton au bon moment…
Magnifique, ce nouvel épisode, tout en matières, abstractions, souffles de vie et d’ombres.
Serge se lâche.
Ici, je vois un enchâssement. L’ombre aurait mangé son sujet, un chat ?
La ligne directe, cette fissure qui traverse l’image, où ce lâcher-prise qui ouvre bien des voix ?
Entre flou et ombres, nous voici dans l’éther.
Pas très engageant. Après le visage sous voile et la mouche prisonnière, le minou « j’y suis – j’y suis pas » semblerait presque rassurant.
Ne serait-ce pas le chat de Schrödinger qui se serait laissé prendre dans la « boite »? A la fois vivant et mort dans un espace (quantique) tout à fait concevable dans notre univers…
Suivre ce lien
Vivant et mort dans la même boite? Ouvrez donc, la réponse n’est pas à l’extérieur, mais à l’intérieur du système…
Et maintenant le lien de Schrodinger, à la fois mort (celui du dessus) et vivant (le lien suivant)
https://www.astronomes.com/le-big-bang/chat-schrodinger
Enfin le retour du chat ! (bien que l’idée d’un lien quantique soit pleine de perspectives..)
Mais bien sûr, Macfly ! On observe bien ici la superposition des deux états du chat… Cela expliquerait le titre de ce photo-blog « Mes morts vivent »…
Et dans la photo suivante, scène de dressage de photons sauvages, n’assisterait-on pas là à la création d’univers multiples ?
Il fallait être là pour saisir l’instant où le chat cesse d’être tout en étant encore. Une vitesse d’obturation au 1/299 792 458 sec n’est pas suffisante, encore faut-il appuyer sur le bouton au bon moment…