Je viens de voir la tombe, et la vie qui renait de cette « strate » qu’on croyait stérile. Pas plus que la vie, la mort n’est éternelle.
Je crois que c’est la bonne voie, ainsi recentré on retrouve Schrodinger mais maintenant la cohabitation des états vivants et morts ne nous apparait plus comme paradoxale.
En cherchant votre chemin Serge vous balisez le mien, merci.
Je viens de voir la tombe, et la vie qui renait de cette « strate » qu’on croyait stérile. Pas plus que la vie, la mort n’est éternelle.
Je crois que c’est la bonne voie, ainsi recentré on retrouve Schrodinger mais maintenant la cohabitation des états vivants et morts ne nous apparait plus comme paradoxale.
En cherchant votre chemin Serge vous balisez le mien, merci.
De rien du tout!
Je ne sais pas si ce détail est anecdotique : ce n’est pas une tombe mais un
seuil
…Ainsi la tombe serait un seuil…