3 réflexions sur « 104 »

  1. Je viens de voir la tombe, et la vie qui renait de cette « strate » qu’on croyait stérile. Pas plus que la vie, la mort n’est éternelle.
    Je crois que c’est la bonne voie, ainsi recentré on retrouve Schrodinger mais maintenant la cohabitation des états vivants et morts ne nous apparait plus comme paradoxale.
    En cherchant votre chemin Serge vous balisez le mien, merci.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *