J’ai aimé ce ballet étoilé… mais n’ai rien su déchiffrer.
Je suis allé aussi loin que possible, l’œil aux aguets, disponible. Mais, s’il y a là quelque message, c’est au-delà de mes limites.
Alors, à mon père que j’ai tant cherché, et à ceux qui ont bien voulu m’accompagner dans ces ténèbres, je dis à bientôt, d’une manière ou d’une autre !
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Merci, Anne-Marie, d’avoir pris le temps de laisser un mot avant votre voyage à vous, outre-atlantique. Vous ferez un blog ?
Très joli parcours, qui va me manquer… L’habitude était prise, la visite de ton blog était devenue un reflexe de chaque jour.
Je me prends maintenant à considérer les détails d’un autre œil.
Merci à toi pour cette initiation.
Un vrai feu d’artifice pour terminer ce jeu de signes.
« Bouquet final » mérite bien son titre.
Pas de réponses, mais bien des pistes.
Jusqu’à cette sorte de tarot, ou de zodiaque…
Merci encore Serge.
Grand Merci Serge pour ce voyage de réflexion, en photos.
La fin est superbe, finesse, rêve, envol…
Je n’ai pas ressenti de ténèbres tout au long de ces mois, mais souvent de la lumière !
Ton introspection est devenue un peu la nôtre et avec des rencontres , des confrontations intéressantes.
Certaines images vont m’accompagner encore longtemps.
A commencer par la fenêtre, devenue ton image titre. Nous n’en avons pas la même définition, mais c’est tout l’enchantement de ton blog !
Excuse ma réaction en retard, pour cause de vacances….
A bientôt Serge, quand tu veux…
Manuella
Je sais où conduit
ce chemin tracé
par la main d’acier
trempé
dans la forge des ténèbres
Ce que signifient
ces murs
d’eau gelée et d’argile
ce vide mesurable
et palpable
cette lumière déclinante
évadée du mirage
cet air
que l’on ne peut respirer qu’à moitié
ces douleurs
qui cultivent leur férocité
dans l’avers
et le revers du corps
Je sais
où la houle muette m’entraîne
Je devine les recifs
de l’autre rive
là où la nuit
n’engendre plus le jour
là où les yeux
ouverts ou non
cessent de voir
VERS L’AUTRE RIVE, Abdellatif Laâbi
Merci pour ce beau texte comme qui dirait « post-mortem », qui conclut ce récit sans toutefois y mettre un POINT final…